Ce 5 juillet, seuls ceux qui ne pouvaient faire autrement se sont
risqués dehors. En effet, le vent soufflait à près de 180 km/h en
rafales. Un bâtiment a quelque peu souffert, c'est l'abri qui nous
permet de gonfler les ballons. Ceux-là même auxquels sont accrochés les
sondes nous permettant de faire des mesures de l'atmosphère. Le morceau
de tôle manquant n'a toujours pas été retrouvé et je doute qu'on y
parvienne. Il doit se trouver à plusieurs dizaines de kilomètres, sur la
banquise, vers le grand large. La question pertinente est : que
restera-t-il après la prochaine tempête ?
Encore une tempête et c'est chômage technique ??
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